« Princesse Elisa Baciocchi » - Théâtre « Casa al Vento », Monte Senario - Neuf actions théâtrales d’Elisa Baciocchi et de son frère Napoleone. Histoires françaises de Paris à Piombino", Edizioni Il Foglio
À la « Casa al Vento », près du Monte Senario, non loin de Florence, a été présenté le spectacle « Princesse Elisa Baciocchi », basé sur le livre de Roberto Mosi « Elisa Baciocchi et son frère Napoléon » (Ed. Il Foglio, 2013). Interprètes, un groupe d'amis passionnés de théâtre, Giulia, Eliana, Gabriella, Emanuela, Simonetta. Renato a joué le rôle du narrateur.
Le spectacle s'est déroulé en plein air, au bord d'un pré encadré par les étoiles. L'histoire théâtrale se conjugue au souffle de la musique de Berlioz, Lully, Paganini, Mendelssohn Bartholdy, Beethoven et Malher.
Les scènes sont liées aux événements de la princesse Elisa, femme entreprenante et passionnée, à qui Napoléon confia le gouvernement des principautés de Lucques et Piombino, de Massa et, ensuite, de toute la Toscane.
Le spectacle parle de sa passion pour le théâtre, pour les arts, de sa débrouillardise dans les affaires amoureuses, des changements civils, économiques - en tant qu'entrepreneur moderne - administratifs qu'elle a introduits dans les territoires gouvernés.
L'émission parle également de la triste période de défaite et de perte de pouvoir - lorsque le frère est submergé à travers l'Europe par les armées alliées - une période où son courage est mis à l'épreuve. Il pourra se recréer une vie à Trieste, à la Villa Vicentina, avec sa fille, ses amis, ses passions pour les arts et le théâtre, jusqu'à son bain fatal dans les eaux thermales de Monfalcone.
La dernière scène du spectacle la voit à nouveau - comme au début, lorsque le rideau s'ouvre - réciter avec beaucoup de passion l'histoire d'amour de "Fédra", de Racine :
« Un poison que Médée
apporta dans Athènes.
Déjà jusqu’à mon coeur le
venin parvenu
Dans ce coeur expirant
jette un froid inconnu;
Déjà je ne vois plus qu’à
travers un nuage
Et le ciel et l’époux que
ma présence outrage;
Et la mort, à mes yeux
dérobant la clarté,
Rend au jour, qu’ils
souillaient, toute sa pureté. »
"La principessa Elisa Baciocchi"
Teatro "Casa al vento", Monte Senario
A Casa del Vento, nei pressi di Pratolino, non lontano da Firenze,
si è tenuto lo spettacolo “La principessa Elisa Baciocchi” tratto dal
libro di Roberto Mosi Elisa Baciocchi e
il fratello Napoleone (Ed. Il Foglio, 2013). Interprete un gruppo di amiche appassionate
di teatro, Giulia, Eliana, Gabriella, Emanuela, Simonetta. Renato ha svolto il
ruolo di voce narrante.
Lo spettacolo si è tenuto
all’aperto, ai margini di un prato incorniciato dalle stelle. Il racconto
teatrale si è unito al respiro delle musiche di Berlioz, Lully, Paganini,
Mendelssohn Bartholdy, Beethoven e Malher.
Le scene sono legate alle
vicende della principessa Elisa, donna intraprendente e appassionata, alla
quale Napoleone affidò il governo dei principati di Lucca e Piombino, di Massa
e, poi, dell’intera Toscana.
Lo spettacolo parla della
sua passione per il teatro, per le arti, della sua intraprendenza nelle vicende
dell’amore, dei cambiamenti civili, economici – da moderna imprenditrice – amministrativi,
che introdusse nei territori governati.
Lo spettacolo parla anche del
periodo triste della sconfitta e della perdita del potere – nel momento in cui
il fratello è travolto in tutta Europa dagli eserciti alleati – periodo nel
quale sono messi a dura prova il suo coraggio. Riuscirà a ricrearsi una vita a Trieste
, a Villa Vicentina, con la figlia, gli
amici, le passioni per le arti e il
teatro, fino al bagno fatale nelle acque termali di Monfalcone.
L’ultima scena dello
spettacolo la vede ancora - come all’inizio, quando si apre il sipario –
recitare con grande passione la storia d'amore di “Fedra”, da Racine:
« Un
poison que Médée apporta dans Athènes.
Déjà jusqu’à
mon coeur le venin parvenu
Dans ce
coeur expirant jette un froid inconnu;
Déjà je
ne vois plus qu’à travers un nuage
Et le
ciel et l’époux que ma présence outrage;
Et la
mort, à mes yeux dérobant la clarté,
Rend au
jour, qu’ils souillaient, toute sa pureté. »
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