lunedì 7 aprile 2025

GADARTE sabato 12 aprile: "Tre principesse francesi a Firenze" di Roberto Mosi - Pontecorboli Editore Stranieri e Firenze - Sylvia Boucot al servizio delle sorelle di Napoleone, Elisa, Paolina e Carolina




                                          Tre principesse francesi a Firenze

Sylvia Boucot d'Hautmesnil al servizio delle sorelle di Napoleone

- Sinossi -

 

Le  principesse Elisa Baciocchi, Paolina Borghese e Carolina Murat, grazie alla fortuna e alle capacità di uomo d’arme e di governo del fratello Napoleone Bonaparte, si trovarono dalle umili origini in una terra isolata, povera, come la Corsica, a conquistare onori e ricchezze sullo scenario europeo; la sorte fatale poi del generale corso, il crollo dell’impero, determinò il rovesciamento della loro fortuna, la decadenza. Sylvia Boucot fu dama di compagnia, in tempi diversi, per un periodo di oltre trenta anni, delle  tre principesse: di Elisa quando divenne granduchessa di Toscana, di Paolina Bonaparte negli ultimi cinque anni della sua vita, fino alla morte avvenuta a Firenze nella villa di Montughi, di Carolina, che dimorò, e morì, nel capoluogo della regione negli anni trenta dell’Ottocento; sono preziose le testimonianze che ci offre Sylvia Boucot nelle pagine del romanzo che portano a delineare i caratteri diversi delle tre sorelle e, allo stesso tempo, il loro coraggio di donne libere, la loro determinazione e ad illustrare, per altro verso, i volti che mostra il potere, nei diversi frangenti, il modo differente di reagire delle persone, l’affermarsi della nuova classe borghese. In questo quadro, Firenze fa da scenario all’agire dei diversi protagonisti, è all’incrocio di dinamiche particolari, incisive per il futuro della città e del Paese. Si ricercano inoltre analogie con il tempo presente, specie riguardo ai miti che in quei tempi sono stati coltivati, come il mito della nazione e il mito del comandante supremo, del leader, che oggi ricompaiono sugli scenari incerti del nostro presente.

L’opera è così articolata: I     L’azzurro del mare; II Firenze, l’incontro con l’imperatore e le tre principesse; III  Elisa Bonaparte Baciocchi; IV          Il teatro allo specchio; V          Paolina Bonaparte Borghese; VI       Il palazzo Salviati-Borghese; VII Gli ultimi giorni di Venere Vincitrice; VIII  La cappella Paolina della Basilica romana di S. Maia Maggiore; IX       Carolina Bonaparte Murat; X            Firenze accoglie Carolina Murat; XI Piazza Ognissanti, la terrazza sulle acque; XII       Un angolo di Francia; XIII    Firenze sogna; Postfazione;  Perché si scrive ?; Cronologia; Bibliografia. Elementi

 

Trois princesses françaises à Florence

Sylvia Boucot et les sœurs de Napoléon, Elisa Baciocchi, Paolina Borghese et Carolina Murat

 

Les princesses Elisa Baciocchi, Paolina Borghese et Carolina Murat, grâce à la fortune et aux compétences d'homme d'armes et de gouvernement de leur frère Napoléon Bonaparte, se sont retrouvées d'origine modeste dans une terre isolée et pauvre comme la Corse, pour conquérir honneurs et richesses. la scène européenne ; le sort fatal du général corse, l'écroulement de l'empire déterminèrent le revers de leur fortune, leur décadence. Sylvia Boucot fut, à différentes époques, pendant plus de trente ans, la dame d'honneur des trois princesses : d'Élisa lorsqu'elle devint grande-duchesse de Toscane, de Paolina Bonaparte dans les cinq dernières années de sa vie, jusqu'à son décès à Florence dans la villa de Montughi, de Caroline, qui vécut et mourut dans la capitale régionale dans les années 1830 ; les témoignages que nous offre Sylvia Boucot dans les pages du roman sont précieux et conduisent à souligner les différents caractères des trois sœurs et, en même temps, leur courage de femmes libres, leur détermination et à illustrer, d'autre part, les visages qu'il montre au pouvoir, dans différentes situations, les différentes manières de réagir des gens, l'affirmation de la nouvelle classe bourgeoise. Dans ce contexte, Florence sert de toile de fond aux actions des différents protagonistes, elle est au carrefour de dynamiques particulières, incisives pour l’avenir de la ville et du pays. Nous recherchons également des analogies avec le temps présent, notamment en ce qui concerne les mythes qui étaient cultivés à cette époque, comme le mythe de la nation et le mythe du commandant suprême, du leader, qui réapparaissent aujourd'hui dans les scénarios incertains de notre présent.

L'œuvre est structurée comme suit : I Le bleu de la mer ; II Florence, la rencontre avec l'empereur et les trois princesses ; III Elisa Bonaparte Baciocchi ; IV Le théâtre dans le miroir ; V Paolina Bonaparte Borghèse ; VI Le palais Salviati-Borghèse ; VII Les derniers jours de Vénus Victrix ; VIII La chapelle paulinienne de la basilique romaine de S. Maia Maggiore ; IX Caroline Bonaparte Murat ; X Florence accueille Carolina Murat ; XI Piazza Ognissanti, la terrasse surplombant l'eau ; XII Un coin de France ; XIII Florence rêve ; Épilogue;  Pourquoi est-ce écrit ?; Chronologie; Bibliographie.



 

 

1 commento:

  1. Les princesses Elisa Baciocchi, Paolina Borghese et Carolina Murat, grâce à la fortune et aux compétences d'homme d'armes et de gouvernement de leur frère Napoléon Bonaparte, se sont retrouvées d'origine modeste dans une terre isolée et pauvre comme la Corse, pour conquérir honneurs et richesses. la scène européenne ; le sort fatal du général corse, l'écroulement de l'empire déterminèrent le revers de leur fortune, leur décadence. Sylvia Boucot fut, à différentes époques, pendant plus de trente ans, la dame d'honneur des trois princesses : d'Élisa lorsqu'elle devint grande-duchesse de Toscane, de Paolina Bonaparte dans les cinq dernières années de sa vie, jusqu'à son décès à Florence dans la villa de Montughi, de Caroline, qui vécut et mourut dans la capitale régionale dans les années 1830 ; les témoignages que nous offre Sylvia Boucot dans les pages du roman sont précieux et conduisent à souligner les différents caractères des trois sœurs et, en même temps, leur courage de femmes libres, leur détermination et à illustrer, d'autre part, les visages qu'il montre au pouvoir, dans différentes situations, les différentes manières de réagir des gens, l'affirmation de la nouvelle classe bourgeoise.

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